La pluie d’un mois d’avril
Fut le roucoulement d’une chanson,
Vit cette nuit amoureuse.
Je te rêvais aussi pâle que la lune,
Tellement que les ombres de ma douleur,
Peut-être, t’attendaient.
Ce ne fut pas grand’ chose que ce rêve
De placer entre tes mains mes illusions
Si après la pluie, un jour, il se perdit...
Et tu ne reviendras jamais, amour, amour,
Qui peut-être m’as oublié.
Et par la suite, dans cette solitude,
Privé de toi, je criai ton nom, mais en vain.
La pluie d’un mois d’avril
M’apporta tes mains ;
La pluie d’un mois d’avril,
Qui m’apporta une parole,
L’ombre de ta voix,
Telle une chanson,
Fut un cri de douleur
Au sein de mon espoir.
Tristesse d’autrefois,
Douleur fatale,
Fatale comme un adieu.